L'histoire qui n'en finit plus...

Bon...je reprend le topic que Kate avait lancé l'an passé, mais qui est disparue lorsqu'un des modérateur a fait du ménage...

Le concept est fort simple... On commence une histoire, et quand vous sentez l'inspiration, le trip ou le temps de la continuer, vous le faites...La seule règle, bien lire ce qui à été écrit avant, de manière à ne pas faire tourner l'histoire en rond, ou la bloqué par un passage qui n'avais pas vraiment de raport avec l'histoire déjà établit...

Je vais commencer...

Et pourtant, comment croire que cette histoire avait dégénérée à ce point...en attendant, tout ce qu'elle pouvait faire, c'est de continuer son chemin parmis les grands pins tout enneigés. Le vent était si froid, la neige réduisait sa visibilité et l'obscurité, emplifiait le sentiment de confusion et le profond désarois qui l'habitait...

Ne cessant se se remémorer les derniers événements, elle continuait de marcher en ligne droite, face contre le vent, avançant difficilement dans la poudreuse, et laissant ses traces derières elle, sachant très bien que bientôt, la neige effacerait cette piste...

Derrière elle, de mauvais souvenirs, devant, de mauvais présages...

Mon intervention ne fait pas partie de l'histoire... Coudonc Renaud, es-tu en train de recopier "Un hiver de tourmente" ?

Désolé, de retour à notre programme principal...

Le visage inquiet, elle osa faire un petit bonjour de la main. Elle ne faisait qu'y penser et l'air glacial lui foutait le visage, redoublant d'ardeur. Elle ne se doutait pas de ce qu'il allait lui arriver. Ces êtres, ce petit groupe d'amis à l'apparence amicale et sympathique n'était en fait rien de tout cela, ils étaient des êtres vils et mesquins. En fait ...

....ils étaient déjà entrain de rire au loin de ses cheveux grichoux.
Quel quiproquo!
Elle s'avança vers eux, prennant confiance, se riddiculisant un peu plus à chaque pas. Voyant qu'elle ne recevait pas de réponse, elle fit comme si de rien était, et essaya de faire passer son bonjour de la main par un «Je-replace-ma-tuque-en-vain».
Affichant un sourire d'excuse se voulant sincère malgré son intérieur comme brûlé par le froid trop grand de la rage et tristesse que lui provoquait ce rejet, elle se retourna pour s'éloigner. Mais le cerle de vils élèves s'était refermé sur elle. Alors qu'elle n'avait plus aucun échapatoire elle...

Le cercle resta ainsi, sans qu'aucun des mômes ne bouge un cil. Alors qu'à l'autre bout de la cours se formaient les rangs, le plus grand qui lui avait lancé le défi la fixait, l'air de dire «Alors?».
Avec l'air le plus arrogant qu'elle était capable de prendre en cet instant de grande tension elle lança:

«Tu les sorts tes clopes?»

Un murmure satifait traversa la cercle, suivit de quelques ricannements.

«Moi je fume pas. J'ai pas de clope pour toi. Mais là, le gros type avec une cravate orange qui approche, tu vois le paquet qui dépasse de sa poche?»

La phrase qu'elle venait d'entendre se répercuta en echo sur les murs de sa conscience : Voler les cigarettes du proviseur?

«C'est ton choix la ptite, les clopes, ou la raclée de ta vie.»

Après une très longue hésitation elle....

baissa le regard et tourna son regard vers le proviseur qui se dirigea tranquillement vers sa voiture, pour un quelconque rendez-vous d'une quelconque importance. Elle soupira, ferma les yeux un moment et marcha tranquillement vers l'homme à l'habit orange sous les regards intéressés des autres élèves.

Sa main se dirigeant tranquillement vers la poche eu la mauvaise idée d'effleurer quelque quelque peut le tissu de la poche. Le directeur se retourna un regard mauvais et dit : ....

(Juste comme ça, sans continuer l'histoire, elle est vraiment bien partie... Chapeau à tout le monde ! )

Puis, ce n'est qu'une fois rendu à l'interrieur qu'elle se rend compte à quelle point son école est immence. Partout des escaliers menant on ne sait trop où. Partout, des portes semblant déboucher à une quantité infinie de locales, mais partout, des élèves de touts les âges, de tout les styles, mais avec un seul point commun, qui semble tous là dévisager....

Tentant de se faire toute petite, Julie, essait de retrouver son chemin vers son casier... comment le trouver dans cet énorme labyrinthe? Elle hésite à demender des indications à d'autre élèves de peur de tomber sur la clic qui voulait faire d'elle une "rebelle". Apres quelques minutes d'hésitation à se faire bousculer par des élèves trop pressé de d'allé à leur cours. Julie voit une autre jeune fille marcher calmement et semblant savoir où aller... Elle décide donc...

De la suivre subtilement. Mais comme vous le savez bien quand on se sent suivit, qu'est-ce qu'on fais ? on regarde par dessus son épaule, et c'est ce que fit la fille. Elle sembla un peu surprise, mais s'adressa à Julie en disant : "Alors tu es nouvelle ?"
"Ah, heu oui, désolée je voulais pas te suivre où quoi que ce soit, je suis seulement perdue..."
"C'est vrai qu'elle est grande cette école, quelle classe cherches-tu ?"
" Heu (regard sur son horaire) La 176..."
"Ah le local de science, pas super comme premier cours, il est juste au bout du couloir"
"Ah merci..."

...

... En enfermant Julie dans une cage pour remplacer celle qui était morte depuis deux jours. Non mais ce n'est pas tout les jours que l'on reçois du nouveau matériel pour les laboratoires.

Au début, Julie croyait que c'était une farce du professeur de faire suivre son cours dans une cage, mais après avoir passé tout l'avant midi dans ce petit endroit clos, elle commençait à douter de la justesse de son horaire, puisqu'elle devait aller à son cours de morale.

Soudain le jeune homme des toilettes arriva dans la classe et...

Super marteau apparu ! (Lol, les filles du Mont comprendront de qui je parle, sinon imaginer vous seulement un professeur déguisé avec une cape et un costume de Batman)

Il entâma son cours avec un langage passionné digne des plus grand philosophe de sa trempe tergiversant sur le statut de la femme et la hiérarchie Mâle - Homme - Alpha - Double Alpha. Il parlait haut et fort et entrainait ses élèves dans toutes sortes d'aventure. Lorsque Martin et Julie sortirent du cours, ils....

...rencontrèrent la bande de voyous du début de l'histoire. Ils n'avaient pas aimer la manière dont Julie s'était jouer d'eux ce matin. Alors ils prirent Julie et la lança en bas des escaliers et firent de même pour Martin juste parce qu'ils en avaient envie.
Heureusement, en bas de l'escalier il y avait...

... le proviseur détenteur de cigarette, il lui tendit sa main aux doigts jaunes, lui souriant de ses dents cariées. Avec son énorme pustule pullulante de bactéries infectieuses sur la joue, son haleine pestilentielle, il la regarda de ses yeux gris et globuleux, lui témoignant ce qui semblait être de la pitié et de la compréhension. Même si Serge avait une mine affreuse, elle se sentait en sécurité, sa première journée n'était pas si mal après tout.

(attention, je vous invite à relire l'ambiance originale de l'histoire instaurée par Renaud... un léger décrochage.... j'adore mon rôle d'arbitre, et c’est maintenant que je sors mes beaux mots)

Où elle était, personne ne pouvait la retrouver. Elle s'était enfoncée dans la forêt en pleine tempête de neige, refoulant dans le plus profond de son être ce qui s'était passé ce jour-là. Serge paraissait sympathique, mais après tout, il y avait probablement un lien entre le proviseur inesthétique laid comme une chenille et cette école aux pratiques hétéroclites et abracadabrantes, mais lequel.

...la saisit par le cou, essayant de faire démarrer sa chainsaw afin de mieux la faire souffrir. Après les ''Je vais te tuer, te faire la peau et ensuite me rouler dans la marre de sang que ton pauvre petit corps de conasse aura fait!'', elle comprit que sa vie allait bientot se terminer. Soudain elle entendit une voix retentir dans la noiceur lumineuse de la forêt.

Elle croiyait être sauvé mais en vain. La voix de la deuxième silhouette dit clairement au propriétaire de la chainsaw: ''Heille! Je t'avais dit de m'attendre avant de perçécuter les petits amoureux quétains qui se donnent des rendez-vous dans la sombre forêt où des cris et des pleurs rettentissent après de nombrux coups de feux. T'écoute jamais quand j'te parle ou quoi Martin?!?''....Elle comprit, avec horreur, que le beau et gentil garçon des toilettes n'était en fait qu'un psychopate, s'échappant souvent de l'asile pas loin de l'école, se faisant passer pour un élève....souvent les apparences sont trompeuses! La deuxième silhouette dit...''Euh... je veux dire Renaud!...''

Elle essaya de se rappeler les trucs d'auto-défense que son prof de karaté lui avait enseigné mais elle était trop effrayée. Les interminables secondes de peur lui glaçait le sang, qui a préavis, devait se retrouver sur le sol de la forêt des malheureuses morts. (S'tidée de se donner rendez-vous dans un endroit aussi dangeureux pour la vie...Franchement les amoureux....ayez un peu de jugement!!!!!)...Donc, comme je le disais, elle avait la chienne de sa vie. Elle se disait que c'était impossible qu'elle meurt aussi jeune à 22 ans. Elle qui rêvait d'enfin finir ses études secondaires et de lâcher le travail de fille de rues....Mais la suite qui arriva était encore plus terrifiante que le destin qui se présentait devant elle. La jeune et innocente fille....



Joueur des Fougères fringantes.....Go DuPhare Go!
(....la mort de cette jeune fille est entre vos mains....massacrée-la à fond si sa vous tente!!!! .....est-ce qu'elle doit mourrir ou )

paraissait si douce et si calme.
Qui aurait pu se douter que la raison pour laquelle elle avait arrêté pour une première fois l'école à l'age de 14 ans était parce qu'elle souffrait de crises de rage et de violence aigues, pendant une des quelles elle avait martellé le crâne de son professeur d'éducation économique avec une patte arrachée à un bureau?
C'était également la raison pour laquelle elle y retournait, à l'école Charles Privé pour trouble d'adaptation et déficience légère -la seule qui n'avait pas refusé sa demande. Elle avait défiguré avec un cap de roue rouillé un client qui poussait le jeu un peu trop loin, et avait donc perdu son emploi, renvoyée par son proxénète.

Sentant monter en elle une force digne de Chuck Norris, elle attrapa à mains nues la lame de la chain saw et brisa la chaine, qui tomba mollement sur le sol. Elle ne sentait plus le froid, ni la douleur, la seule pensée qui lui venait en tête était : Frapper! Mordre! Détruire!
Elle regarda alors Martin, et ce dit : mais comme il est beau!
Sa colère retomba lorsqu'elle lui dit :